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Faut-il fermer les Mecs ?

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Ancien directeur d’une maison d’enfants à caractère social, aujourd’hui formateur-consultant, Francis Batifoulier s’empare du débat lancé en mars dernier par la rapporteuse de l’ONU, qui juge nécessaire une désinstitutionnalisation des champs de l’accompagnement social, entre autres de celui de la protection de l’enfance.
La protection de l’enfance connaît une profonde crise de légitimité. Cette dernière affecte particulièrement les structures d’hébergement. Et pas seulement dans ce champ. C’est ainsi que la rapporteuse de l’Organisation des Nations unies, Catalina Devandas Aguilar, recommande au gouvernement de fermer les institutions médico-éducatives existantes (1).On peut considérer tout à fait injuste le procès fait aux maisons d’enfants à caractère social (Mecs) qui, depuis une vingtaine d’années, s’emploient à diversifier leurs pratiques et y réussissent. Toutefois, il ne faut pas sous-estimer les effets dévastateurs de l’ère du soupçon que nous traversons aujourd’hui et il importe d’adopter une posture proactive en valorisant la qualité des accompagnements, mais également en poursuivant la mise en pensée des enjeux que doivent relever…
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